Je me suis posée là, jambes croisées à caresser le sol. La tête jamais à l’abandon, je rêvais déjà de ces prochains jours, de ces prochaines semaines, celles durant lesquelles tout sera permis, même de vivre. J’aime l’immensité lorsque j’ai les pieds (secs) et au sol, j’aime les longs silence et les éléments lorsqu’ils sont là. Ce soir là, j’étais en très bonne compagnie, celle d’un léger souffle et d’un soleil couchant, je me suis laissée aller et ma tête aussi.
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19.
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