Après la lecture du soir, je lui ai rappelé combien je l’aimais. Combien il était important dans ma vie, comment il a su la changer (en mieux), qu’il était MA personne et combien il allait terriblement me manquer. Je me sens définitivement chanceuse d’avoir un petit garçon aussi touchant et aimant, il sait que nous avons ce besoin oppressant de nous évader pour se ressourcer (et sortir de ce tourbillon infernal qu’est notre vie). Têtes collées et mains liées, on s’est fait une promesse, même à l’autre bout du monde, celle de regarder tous les soirs les étoiles et de penser l’un à l’autre. Mon tout petit.
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Dans le grand bois.
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