Je ne peux m’en empêcher, je souris et je me laisse vite envahir par cette envie juvénile. Je cueille et je souffle. Je souffle comme ce petit vent d’hiver. À ce moment précis je me sens vivante avec ce même petit coeur d’enfant (de 31 ans), j’aime quand ça souffle, c’est frais et doux, j’aime quand ça virevolte, quand ça se chamaille. Mais moi ce que j’aime par dessus tout c’est ce droit que je m’octroie, celui de faire un vœu à chaque fois que je fais ça !
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Je me suis posée là.
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